Les meilleures choses ont une fin (les moins bonnes également). Après une semaine de programmation très éclectique, l'Astrolabe a choisi de clôturer en beauté ses 10
ans d'existence par une soirée électro.
Perso j'aurais préféré un final avec des guitares acérées, un bûcheron à la batterie, une basse ronronnante, un chanteur sous acide. Du rock quoi avec de vrais musiciens, ceux qui bichonnent leur instrument ou bien les explosent en fin de concert. Des mecs qui bougent leur cul sur scène, qui partagent, qui donnent un peu (et parfois beaucoup) d'eux même.
Et bien j'ai (quasi) été exaucé !
Mister Eleganz,le front man du groupe SUCCESS a réussi l'habile mélange, le cocktail détonant entre rock et électro. Appuyé par Jo, Youl Reicher et DJ Good Feeling nous nous serions presque cru dans une salle concert. Le dance-floor Astrolabien a tremblé de la tête au plafond, non attend du sol aux pieds, enfin merde quoi tu m'as compris. Nos 4 lascars ont inondé la salle de leur sonorités improbables avec un brio qui aurait fait palir de jalouie monsieur Propre s'il était encore en vie (putain ça veut pas dire grand chose mais quelle phrase, Magiclilive a du talent c'est indéniable !).
Après ce set épileptico-apocalytique une seule et unique alternative : rejoindre le bar, l'éloge de la bière n'est plus à faire.
Perso j'aurais préféré un final avec des guitares acérées, un bûcheron à la batterie, une basse ronronnante, un chanteur sous acide. Du rock quoi avec de vrais musiciens, ceux qui bichonnent leur instrument ou bien les explosent en fin de concert. Des mecs qui bougent leur cul sur scène, qui partagent, qui donnent un peu (et parfois beaucoup) d'eux même.
Et bien j'ai (quasi) été exaucé !
Mister Eleganz,le front man du groupe SUCCESS a réussi l'habile mélange, le cocktail détonant entre rock et électro. Appuyé par Jo, Youl Reicher et DJ Good Feeling nous nous serions presque cru dans une salle concert. Le dance-floor Astrolabien a tremblé de la tête au plafond, non attend du sol aux pieds, enfin merde quoi tu m'as compris. Nos 4 lascars ont inondé la salle de leur sonorités improbables avec un brio qui aurait fait palir de jalouie monsieur Propre s'il était encore en vie (putain ça veut pas dire grand chose mais quelle phrase, Magiclilive a du talent c'est indéniable !).
Après ce set épileptico-apocalytique une seule et unique alternative : rejoindre le bar, l'éloge de la bière n'est plus à faire.